Paroles d’ivrognes

Une parole d’ivrogne, c’est  une promesse sur laquelle il ne faut pas compter : “Demain… j’arrête de boire” par exemple. Ce sont celles des hommes politiques la plupart du temps: “demain, je ferai beaucoup mieux”. Au fait, connaissez-vous la chanson de Lynda Lemay “Promesse d’ivrogne” ? En voilà quelques lignes (je n’ai pas trouvé de vidéo).

Ça va sonner comme une promesse
De politicien à la con
En pleine campagne d’élection
Quand je vais vous prédire ma sécheresse… Continuer la lecture

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Août 1953

Souvenirs pour certains peut-être mais moi, je l’avoue, je viens de découvrir qu’au mois d’août 1953, juste après ma naissance (27 juillet), en pleine période de congés payés, une grève a surpris tout le monde, mais surtout le gouvernement de l’époque. Cette grève a paralysé les services publics et mis en échec les plans d’austérité du gouvernement d’alors, gouvernement dirigé par Joseph Laniel. Continuer la lecture

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C’est pas drôle !

C’est pas drôle ! Je veux parler de blagues de Hollande, oui celles de François Hollande, notre si … désespérant président de la République. Depuis quatre ans, j’ai du mal à rire. Déjà avant c’était triste mais dans un autre registre. On a ce qu’on mérite, paraît-il. Les Allemands ont Madame Merkel et les Américains Barack Obama mais qui vont-ils se choisir ? Trump ? Arghh ! Ça fait peur. Croyez-vous à ce slogan ?  “Make America Great Again ! | Donald J Trump for President”. Continuer la lecture

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La fin …

La fin… de quoi ? J’ai lu récemment un texte expliquant les causes de la Révolution Française de 1789, celle qui marqua la fin de la monarchie de droit divin en France. Depuis, il y a eu l’Empire ou plutôt les deux Empires, d’autres révolutions et nous voilà dans la Cinquième République. République, oui ! Démocratique ? C’est à voir.  Continuer la lecture

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Lapsus

Chaque jour, sans le vouloir, nous révélons ce que, justement, nous souhaitions cacher. De la langue qui a fourché à l’acte manqué, nos lapsus peuvent en dire long. Mieux vaut en rire car, de toutes façons, il est impossible de revenir sur cette gaffe et plus on se répand en excuses, plus les interlocuteurs pensent que ce lapsus était révélateur.  Or, tous les lapsus ne sont pas forcément révélateurs. Il s’en produirait un en moyenne tous les 600 à 900 mots et plus de 70 % sont corrigés dès que la personne prend conscience de l’anomalie de son propos. Continuer la lecture

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