L’Angelus de Millet

Des mois plus tôt, lorsque j’ai écrit ce billet, à trois heures et demi du matin, à Paris, il y avait une heure et demie que j’étais réveillée. Pourquoi ? Allez savoir. Jadis, trois heures et demi du matin, c’était une heure à laquelle j’allais me coucher mais les temps changent… J’ai vieilli. Une fois de plus, j’avais laissé mes idées partir en vadrouille. J’ai pensé que “dans le temps lontan”, la vie était, non pas meilleure, mais, sans aucun doute, plus calme, plus organisée, réglée par des prières dont l’Angelus, trois fois par jour ; la nuit on dormait, épuisé. Continuer la lecture

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