Le volt est en relation avec l’électricité et l’énergie. Le volt (symbole : V) est une unité de force électromotrice et de tension. On doit ce nom à Alessandro Volta, inventeur italien de la pile électrique en 1800.

Selon la norme du Système international d’unités, tous les noms d’unités sont des noms communs et s’écrivent donc en minuscules ; le symbole associé est en minuscules, sauf quand le nom de l’unité provient d’un nom de personne, auquel cas le symbole commence par une majuscule (d’où : « volt », nom écrit en minuscules ; mais comme ce nom dérive de celui d’Alessandro Volta, le symbole est « V » majuscule).

pour en savoir plus il y a wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Volt

D’une personne en mouvement perpétuel on dit que c’est «une pile électrique». Un de nos chanteurs qui se produisit trente-trois fois sur la scène de l’Olympia, avait gagné le surnom de « Monsieur 100 000 volts » car il était en mouvement permanent, avait le sens du swing et soulevait des passions : ses fans cassaient, par enthousiasme, les fauteuils des salles de spectacles.  C’était Gilbert Bécaud.

Vous pouvez ici écouter trois de ses titres :

– “l’orange”

Tu n´es qu´un sale voleur
D´abord tu n´es qu´un étranger
Et tu portes malheur

– L’indifférence :

Laisse-moi te dire et te redire ce que tu sais
Ce qui détruit le monde c´est :
L´indifférence
Elle a rompu et corrompu
Même l´enfance
Un homme marche
Un homme marche, tombe, crève dans la rue
Eh bien personne ne l´a vu

– “Et maintenant” :

A contrario, un autre chanteur, incorrigible nonchalant qui vient de  nous quitter, un qui faisait de la paresse une vertu et ne s’énervait pas : Georges Moustaki. Il s’amusait du surnom que lui avait donné Eddy Mitchell : «Monsieur 1 volt». Il n’empêche qu’il travaillait à composer des chansons, ce n’est pas rien ; il faut être inspiré et prendre guitare, plume, papier…

Il nous a laissé le «Milord» pour Piaf:

«la dame brune» pour Barbara

«Sarah» pour Reggiani :

et pour lui «la philosophie» :

«Ma liberté» :

et sa non moins célèbre gueule de «Métèque».
La dernière, comme on dit “pour la route”,

j’aime :

.

Vous vous doutiez bien que je n’allais pas faire un cours d’électricité.