C’est dimanche (40)

Coucou, me revoilà ! Désolée pour dimanche dernier, je n’ai pas pu être là pour mon rendez-vous hebdomadaire. Pas de temps disponible, ni d’internet, etc. Heureusement, Antonio m’a soufflé un sujet pour les sourires du dimanche : “les cyclistes”. Je vous propose donc aujourd’hui des histoires de vélo. Pas des histoires de champions mais des histoires de vélo.

Un cycliste professionnel participe à une grande classique. Il se donne à fond dans le sprint final, très fatigué, un peu bousculé, il tombe, heurte de la tête le bord d’un trottoir et meurt sur le coup. Sa femme est appelée à la morgue afin de faire une identification formelle du corps.
Plusieurs corps sont recouverts d’un drap. 

Le médecin légiste soulève le premier drap.       
- Non, ce n’est pas lui !

 (Sanglots de la dame. Le médecin soulève le deuxième drap.
         – Non ! (elle fond à nouveau en larmes). Ce n’est toujours pas lui !                                        
- Veuillez m’excuser madame

, et le médecin  soulève le troisième drap.
La femme répond d’une voix lointaine :                                                                                
- Ce n’est toujours pas lui

.

Embarrassé, le médecin soulève le quatrième et dernier drap.
Soulagement…

– Oui. C’est bien lui. Oh mon pauvre chéri, même dans la mort,  tu n’es pas dans les trois premiers
*****
Papa, Papa, pour Noël, je voudrais une bicyclette…
Comme son fiston n’est pas très bon en orthographe, le père profite de l’occasion pour le faire travailler :
– «Tu auras une bicyclette quand tu sauras écrire correctement le mot !»
Le petit garçon devient pensif, puis finalement s’exclame :
«En fait, j’ai bien réfléchi… je préfère un vélo !»

*****
Un jardinier d’un grand hôtel découvre que ses rosiers font plus de dix mètres de haut. Il découvre également des tomates de dix centimètres de diamètre, des melons de dix kilos…
Il appelle le directeur :
– “Moi, je veux bien que l’hôtel héberge le Tour de France, mais dites aux coureurs d’arrêter de pisser dans le jardin.»
*****

Une histoire belge…
– Pourquoi les Belges font-ils du vélo avec des bottes ?
– Parce qu’ils ont compris que le sida s’attrape avec les pédales.

*****

Tit Jean apprend à monter à vélo et déjà il fait le vantard. Il fait un tour du pâté de maisons et en passant devant sa mère :
 “Regarde maman, sans les pieds.
” Il refait un tour du pâté de maisons et dit :
 “Regarde maman, sans les mains.”
Troisième tour, Tit Jean repasse en s’exclamant : “”Regarde maman… Fan les dents !

*****
C’est  l’histoire d’un Français qui veut tester sa  supériorité sur les Belges. Il se rend en Belgique à vélo et s’arrête dans une station-service, conventionnelle, pas une en self-service. Le pompiste s’approche et lui demande :
– « Bonjour, Monsieur, qu’est-ce que je peux faire pour vous ?”
– “Le plein, s’il vous plait.”
Le Belge fait le plein et le Français, plié en deux de rire lui demande de vérifier les pneus. Le Belge s’exécute avec la gentillesse légendaire des gens de son pays. Le Français rit de plus belle et lui demande de laver le pare-brise. Le Belge nettoie le guidon du  vélo.

Le Français est «mort de rire». Le Français veut payer et s’en aller lorsque…
… il reçoit une gifle magistrale.
Là, il ne rigole plus, il demande au Belge :  «Pourquoi ?»
«Ben, j’ai fermé la portière, une fois, Monsieur.»
*****
Dimanche à six heures du matin, un homme se lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller son épouse.
Il charge son VTT dans la voiture, et s’en va …
Arrivé sur le parcours cycliste,  il se met à tomber des trombes d’eau.
Sa matinée est foutue, il décide de rentrer chez lui.
Il se déshabille sans faire de bruit, et se recouche doucement tout près de son épouse, et lui chuchote à l’oreille :
« Il pleut comme vache qui pisse ».
Et elle, répond :
« Quand je pense que l’autre con est en train de pédaler …….. ».

*****
Juan arrive du Mexique à la frontière le séparant des États-Unis en bicyclette. Il a un gros sac sur ses épaules.

Le douanier l’arrête et lui demande :
– Qu’est-ce que tu as dans ton sac ?
Il répond :
– Du sable.
Le douanier, incrédule, lui dit :
– On va voir ça… Descends de vélo.
Le douanier ouvre le sac et répand le sable qu’il contient sur le sol. Il fouille dedans sans rien y trouver.
– C’est bon, lui dit-il.
Juan ramasse le sable du mieux qu’il peut et repart sur sa bicyclette.

Une semaine plus tard, la même chose se produit.
Le douanier demande à Juan :
– Qu’est-ce que tu as dans ton sac cette fois ?
Juan répond :
– Du sable.
Le douanier, qui n’est toujours pas convaincu, décide de détenir Juan pour la nuit et d’envoyer un échantillon de sable pour analyse. Le lendemain, les résultats révèlent qu’il s’agit bien de sable. Il laisse donc Juan repartir sur son vélo.

Le petit manège se poursuit tous les deux ou trois jours pendant les quelques années qui suivent. A chaque fois, le douanier fouille le sac de sable. Il envoie régulièrement des échantillons pour analyses de toutes sortes mais toujours sans rien trouver d’autre que du sable.

Finalement, quelques années plus tard, Juan arrête de traverser la frontière en bicyclette avec son sac de sable.

Un beau jour, alors qu’il est en retraite, le douanier prend ses vacances au Mexique et rencontre Juan dans un petit bar sur la plage.
– Hé ! je te reconnais, toi! Tu n’es pas le gars qui traversait la frontière en bicyclette avec un sac de sable ?
Juan reconnaît le douanier et lui répond :
– Oui, c’est moi.
– Qu’est-ce que tu deviens ? lui demande le douanier.
– Je me suis acheté ce petit bar et je vis tranquillement, répond Juan.

Le douanier se décide finalement à lui demander :
– Écoute, je suis à la retraite et je n’ai plus aucun pouvoir. Je voudrais bien savoir une chose. Je n’ai jamais arrêté de penser à ça depuis que je t’ai vu la première fois. Juste entre toi et moi, tu faisais de la contrebande ?…
Juan esquisse un petit sourire et répond :
– Oui, et c’est comme ça que je me suis acheté ce bar.
Le douanier s’approche un peu et demande à voix plus basse :
– “Et qu’est-ce que tu passais frauduleusement aux douanes ?”
– ” Des vélos !”

*****

On enterre un ancien coureur cycliste. C’était un de ces obscures du peloton, équipiers dévoués qui ne gagnent jamais et que l’on surnomme “les porteurs d’eau”. Le corbillard arrive en haut d’une longue côte qui mène au cimetière. Alors dans le cortège un coureur dit à son voisin :
– Il doit être content . C’est la première fois qu’il passe en tête au sommet…
… Surtout après avoir crevé.

*****

Quel est le comble pour un cycliste ?
C’est de se faire recycler.

C’est tout pour aujourd’hui. A demain et bonne fin de journée.

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13 réflexions sur « C’est dimanche (40) »

  1. bravo Françoise, belle serie, humoristique sur le vélo ! nous aimons bien celle du belge et celle du mexicain , bon dimanche et de grosses bises

  2. Bonjour Françoise ! Heureuse de vous retrouver …. et de rire grâce à vous !
    Passez un bon dimanche.

  3. tu as donc regagné tes pénates !
    au moins ne parles tu pas de vélo à l’ insu de ton plein gré !
    bon dimanche
    bisous

  4. Bonjour Françoise,
    Une bonne page d’humour.
    Pour les arbres fruitiers, le bon moment pour les planter est novembre.
    Nous nous servons pas mal à Truffaut ou à Botanic, un peu plus cher mais c’est de la qualité et ils donnent de bons conseils.
    Le pommier, nous l’avions acheté il y a deux ans chez Willemse par correspondance.
    Bon dimanche
    Amitiés

  5. Bonjour Françoise

    Aujourd’hui lorsque tu vas ouvrir le coeur de ton univers, tu vas trouver mon humble message habituel, et si ce message arrive à te déclencher un joli sourire, alors ça me mettra du baume au coeur pour la journée, et j’espère que se sera la même chose pour toi.

    Merci pour cette complicité et tes attentions diverses chaque jour.

    Que ton dimanche soit plein de soleil à l’intérieur même s’il ne l’est pas à l’extérieur.

    Une envolée d’amitié pour toi.

    Lolli

  6. Bonjour à toi. Pas mal tes blagues. Quelle bonne idée de nous permettre de sourire. Ca console des moments de spleen. Amicalement. dinosaure80.

  7. Neuf éclats de rire ! Et j’en goûte particulièrement le sel (non, pas la selle) moi qui suis un cycliste pratiquant et convaincu. A propos, sais-tu quel est le comble d’un vaniteux ? Non ? C’est de descendre de vélo pour se regarder pédaler. A plus. Florentin.

  8. Salut Françoise
    belle série de rigolades: finalement on se rend bien compte que quelque soit le métier, le lieu ou l’action tout peut prêter à sourire!
    Amicalement
    Antonio

  9. Bonsoir et merci pour votre aimable passage dans mon océan … Quel plaisir de lire ces textes qui autorisent le sourire même quand le coeur n’est pas bien joyeux ! je vous souhaite une douce soirée, oceandefleurs

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