C’est dimanche (193)

C’est dimanche et je suis silencieuse depuis quelques jours mais… les heures, les jours passent trop vite. Je vais essayer de vous faire sourire malgré vos préoccupations quotidiennes et celles tout à fait exceptionnelles du jour puisque la France est en finale de l’Euro. (Moi je m’en fous du foot pour tout vous dire ; je suis juste un peu chauvine alors pourvu qu’on gagne ! )

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Une femme dans la quarantaine poursuit en vain un éternel régime. Un jour, après s’être lamentée sur son sort, elle demande à son mari :
– “Qu’est-ce que tu préfères ? Avoir une femme maigre et grincheuse ou une femme grosse et joviale ?”
– “Combien de kilos te faut-il encore pour devenir joviale ?”

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– “Chérie, je voudrais te demander quelque chose qui me turlupine depuis des années. Quand nous nous disputons, hélas, et que je te fais enrager, tu ne t’énerves jamais, tu t’en vas simplement aux toilettes et je t’entends chanter ! Mais comment fais-tu pour gérer ainsi tes émotions ?” demande un homme à sa femme.
– “C’est simple, je lave la cuvette des toilettes.”
– “Je ne suis pas sûr de bien comprendre… Comment cela peut-il t’aider ?”
Sa femme répond :
– “C’est parce que j’utilise ta brosse à dents.”

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Une dame de quatre-vingt-dix-neuf ans, sur son lit de mort, fait une dernière confidence à son mari du même âge qui est effondré par le chagrin.

– “Jules, mon petit Jules, avant de fermer à jamais les yeux, je voudrais te révéler un secret. Tu vas aller au grenier, sur la troisième poutre au fond à gauche, tu vas trouver un carton. Vas le chercher, je te le donne.”

Le mari, très surpris, monte difficilement au grenier, et après cinq minutes, redescend dans la chambre avec le carton. Il l’ouvre, et trouve à l’intérieur deux petites boites ; l’une contient trois œufs et l’autre 250 000 euros.

A la vue des billets, les yeux de Jules s’illuminent. Puis, après trente secondes d’intense émotion, il demande à sa Léontine :

– “Dis-moi, ma tendre Léontine, c’est quoi les trois œufs ?”

– “Eh bien, Jules, depuis soixante-dix-huit ans que nous sommes mariés, chaque fois que je n’ai pas eu d’orgasme quand on faisait l’amour, je gardais un œuf de poule.”

Jules, pas peu fier d’apprendre qu’il n’a eu que trois ratés en soixante-dix-huit ans, se sent rajeunir, puis il demande à Léontine :

– “Et les 250 000 euros, c’est quoi ?”

– “Et bien, c’est tout simple…. Chaque fois que j’avais douze oeufs, j’allais les vendre.”

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Un mari rentre chez lui à l’improviste. Il entre dans la chambre et s’étonne de trouver sa femme entièrement nue.
– “Ben ma chérie… Pourquoi tu es toute nue ?”
– “C’est parce que tu ne m’achètes plus de vêtements, alors forcément, j’ai plus rien à me mettre !”
– “Tu te fous de moi ? Il ouvre la penderie et compte les robes sur les cintres : une robe… deux robes… trois robes… pardon monsieur… quatre robes…”

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Une femme rentre des commissions et trouve son mari au lit avec une jeune et charmante demoiselle. L’homme saute hors du lit et dit :

 – “Chérie, je peux tout t’expliquer ! Sur le chemin en rentrant du golf, j’ai vu cette pauvre fille sur le bord de la route. Je l’ai prise en stop et je lui ai demandé où elle allait. Elle m’a dit qu’elle n’avait nulle part où aller et qu’elle n’avait pas mangé depuis trois jours alors je l’ai ramenée à la maison et je lui ai donné à manger. Pendant qu’elle mangeait, j’ai vu qu’elle n’avait pas de chaussures, alors je lui ai donné une de tes paires de chaussures que tu n’utilises plus. Puis j’ai vu que ses habits étaient en lambeaux alors je lui ai donné de tes anciens habits que tu n’utilises plus.

Quand elle était sur le point de partir, elle s’est tournée vers moi et m’a dit : “Est-ce qu’il y a encore quelque chose que votre femme n’utilise plus ?”

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Une fée dit à un couple marié : Pour avoir été un couple si exemplaire depuis vingt-cinq ans, je vous accorde à chacun un vœu.

La femme dit alors :
“Je voudrais faire le tour du monde avec mon mari adoré.”
La fée agite sa baguette magique, et abracadabra, des billets d’avion apparaissent dans la main de la femme.

Maintenant c’est au tour du mari : “Euh… c’est un instant très romantique, mais une opportunité comme celle-là n’arrive qu’une fois dans la vie. Alors je suis désolé ma chérie, mais j’aimerais avoir une femme trente ans plus jeune que moi.”
La femme est terriblement déçue, mais un vœu est un vœu.

La fée fait un cercle avec sa baguette magique… Abracadabra ! Soudain le mari a… quatre-vingt-dix ans !

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Après trente-cinq ans de mariage, un homme regarde sa femme et lui dit : “Chérie, il y a trente-cinq ans, on avait un petit appartement, une vieille voiture, on dormait sur le canapé en regardant une télé en noir et blanc de 41 cm, mais je dormais avec une jeune blonde de vingt-cinq ans… Maintenant on a une maison à 500 000 €, une Mercedes à 50 000 € un lit à eau, une télé couleur écran plat de 130 cm, et je dors avec une vieille de soixante ans.

La femme qui est très vive d’esprit lui répond :

– “Tu as juste à te trouver une jeune blonde de vingt-cinq ans et mon avocat fera en sorte que tu te retrouves dans un petit appartement, avec une vieille voiture, et que tu dormes sur un canapé en regardant ta télé noir et blanc de 41cm !
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Bonne fin de journée.

Bonne semaine.

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Une réflexion sur « C’est dimanche (193) »

  1. Merci pour tous ces sourires !
    Comme quoi, il faut se méfier des femmes !
    En ce qui me concerne, je suis content que l’ euro soit terminé, et même que la France ait perdu !
    Peut être enfin va t on en revenir à des choses plus sérieuses !
    Passe une bonne journée Françoise
    Bisous

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