C’est dimanche (192)

Il fait beau, l’été semble enfin vouloir revenir même si le thermomètre n’est pas au plus haut mais c’est déjà tellement mieux que les dernières semaines. Pas d’hiver, pas de printemps… Cette année l’automne a beaucoup duré. Alors pour sourire des histoires d’automne, ça vous va ? L’automne, la rentrée des classes, la chasse, les champignons…

Je reste à l’école. D’accord ?

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Le père de David s’étonne de ne pas avoir encore reçu le bulletin scolaire de son fils et lui en demande la raison :
– “Ton bulletin il est pas encore arrivé ?”
– “Si, si, papa, mais je l’ai prêté a Paul pour qu’il fasse peur a son père !”

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La maîtresse demande de construire une phrase avec l’adjectif épithète.  Nicolas lève le doigt et dit :
– “Aujourd’hui il pleut, épithète demain, il fera beau !”

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Dans une école à la frontière franco-suisse, l’institutrice dit qu’elle est fan de l’équipe de France et demande à ses élèves fans de l’équipe de France de football de lever la main.
Pour faire comme la jolie institutrice, tous les élèves lèvent la main sauf une, la petite Jade. – “Bah alors, Jade, toi, tu n’es pas fan de l’équipe de France ?” demande l’institutrice. – – — “Non”, répond Jade, “je suis fan de l’équipe suisse”.
– “Ah bon ?” , demande l’institutrice, “et pourquoi ?”.
-“Parce que mes parents sont fans de l’équipe suisse, donc je suis fan de l’équipe suisse” répond la petite Jade.
L’institutrice, vexée, veut donner une leçon à la fille et dit  : “Et si tes parents étaient des imbéciles finis, tu serais quoi ?”.

Là, la petite Jade répond : “Je serais fan de l’équipe de France”.

(Tel est pris qui croyait prendre.)

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Le professeur des écoles demande à un élève :
– “Quel est le pluriel de “un beau bal” “?
– “Des bobos”, lui répond l’enfant.

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Un policier demande à un jeune homme qui court autour d’une école:
– “Que faites-vous ?”
– Je poursuis mes études.”
– “Et vous ?” demande-t-il à un autre jeune qui court encore plus vite.
– “Oh, moi, je fais du rattrapage.”

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Le petit Thomas demande à sa professeur des écoles s’il peut lui parler après le cours. Elle accepte.
La maîtresse : “Alors, que veux-tu me dire, Thomas ? ”
Thomas : “Je pense être trop intelligent pour rester dans cette classe, je m’embête ! Je voudrais passer directement au lycée.”
Le directeur, informé de la demande, propose à Thomas de passer des tests de connaissances. Thomas accepte sans hésiter, le directeur débute les questions.
Le Directeur : “Voyons voir Thomas, 3 x 4 ?”
Thomas : “Douze !”
Le Directeur : “Et 6 x 6 ?”
Thomas : “Trente six, Monsieur le Directeur. ”
Le Directeur : “Capitale du Japon ? ”
Thomas : “Tokyo ”
Le test continue pendant une demi-heure, Thomas ne fait aucune erreur ! A la fin du test, le directeur est satisfait mais, la Professeur demande si elle peut à son tour lui poser des questions. Tous deux acceptent, et la Professeur commence.
La Professeur : “Bon Thomas ! La vache, elle en a quatre et moi j’en ai deux, qu’est-ce que c’est ? ”
Thomas : “Les jambes, Madame. ”
La Professeur  : “Correct.. Qu’est-ce qu’on trouve dans tes pantalons et pas dans les miens ? ”
Le Directeur s’étonne de la question.
Thomas : “Des poches, Madame. ”
La Professeur  : “Bien, Thomas. Qu’est-ce que les hommes et les femmes ont en plein milieu et qui est en double ?”
Le directeur se prépare à intervenir lorsque Thomas répond.
Thomas : “Les deux « M », Madame.”
La Professeur  : “Où est-ce que les femmes ont les poils les plus frisés ? ”
Thomas : “En Afrique, Madame”, répond le gamin sans hésiter.
La Professeur  : “Qu’est-ce qui est mou mais qui, aux mains d’une femme, devient dur ?”
Le Directeur ouvre grands les yeux mais Thomas répond :
– “Le vernis à ongles, Madame.”
La Professeur  : “Qu’est-ce que les hommes et nous les femmes, nous avons au milieu des jambes ? ”
Thomas : “Les genoux ! ”
La Professeur  : “Bien. Et qu’est-ce qu’une femme mariée a de plus large qu’une femme célibataire ? ”
Le Directeur n’en croit pas ses oreilles !
Thomas : “Le lit, Madame.”
La Professeur  : “Quelle est la partie de mon corps qui est souvent la plus humide ? ”
Thomas : “Votre langue, Madame. ”
La Professeur  : “Quel mot commençant par la lettre « c » désigne quelque chose qui peut être humide ou sec et que les hommes aiment regarder ? ”
Thomas : “Le ciel !”
Le Directeur soufflant, transpirant, décide d’arrêter le test et s’exclame :
– “Ce n’est pas au lycée que je vais t’envoyer mais directement à l’université ! Même moi, je l’aurais complètement raté ce test…”

Morale de l’histoire : C’est avec l’âge que l’on devient pervers !

*****

Pour finir, voilà où en est  l’école :

Un inspecteur d’académie se rend dans une classe. Il interroge un élève :
– “Qui a cassé le vase de Soissons ?”
L’élève pâlit, hésite, puis bredouille en un sanglot :
– “C’est pas moi…”
– “Comment ? Vous ne savez pas qui…”.
– “Monsieur l’Inspecteur, puisqu’il vous dit que ce n’est pas lui”, dit le professeur.
– “Comment ? Comment ? Vous aussi, vous ne savez pas qui …”
– “Ma foi non”, répond le professeur, évasif.
L’inspecteur fait alors un rapport au directeur de l’établissement.
– “Voyez l’état de l’enseignement : les élèves et les enseignants ne savent pas qui a cassé le vase de Soissons !”
Le directeur, ennuyé, se demande :
– “Mais qui donc a cassé ce vase ? ”
Il adresse une requête au recteur d’académie.
Ce dernier, recevant la requête, l’examine entre deux dossiers urgents et s’exclame :
– “Mais quelle histoire pour un vase ! Qu’on le remplace !”

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Bon dimanche et à lundi.

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2 réflexions sur « C’est dimanche (192) »

  1. Chez moi par contre, le ciel reste gris, et les averses se succèdent !
    J’ en apprécie d’ autant plus tes histoires !
    La dernière pourrait être autre chose qu’ une histoire !
    Passe une bonne journée Françoise
    Bisous

  2. Bonjour Francoise
    Je souris à celui qui poursuit ses études
    et son compère qui fait le rattrappage
    Bisous et douce soirée
    Frieda

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