Les jours heureux

Les jours heureux, un programme adopté dans la clandestinité le 15 mars 1944 par  Conseil national de la résistance (CNR), un texte de référence trop souvent galvaudé par des gens plus ou moins irrespectueux du courage du peuple. Le programme “Les Jours Heureux” est né de la volonté ardente de certains Français de refuser la défaite. La Résistance n’a pas d’autres raisons d’être que la lutte quotidienne sans cesse intensifiée.

Pour ce combat pour retrouver des jours meilleurs sinon heureux, il a fallu regrouper toutes les forces autour des aspirations de la nation pour que la France regagne son équilibre moral et social et redonne au monde la preuve de son unité. 

Les Résistants des années 1940 avaient prévu un plan d’action immédiate et mesures à appliquer dès la libération du territoire.

Devant la destruction physique de la nation par le pillage, par la suppression de toute production utile aux Français, ils proclamèrent leur volonté de délivrer la patrie en collaborant étroitement aux opérations militaires que l’armée française et les armées alliées entreprendraient sur le continent, mais aussi de hâter cette libération, d’abréger les souffrances de notre peuple. Ils constataient la multiplication des grèves, l’ampleur des arrêts de travail et déclarèrent que c’est seulement par l’organisation, l’intensification de la lutte par les masses que pourrait être réalisée l’union véritable de toutes les forces patriotiques  et l’insurrection nationale dès que les circonstances politiques et militaires permettraient d’assurer, même au prix de lourds sacrifices, son succès.

Pour mobiliser les ressources d’énergie du peuple français, pour les diriger vers l’action salvatrice dans l’union de toutes les volontés, le CNR décide d’inviter les responsables des organisations déjà existantes à former des comités de villes et de villages, d’entreprises, par la coordination des formations qui existaient déjà, par la formation de comités là où rien n’existait encore et à enrôler les patriotes non organisés. C’est bien vrai :

TOUT EST QUESTION D’ORGANISATION

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ÇA, c’était le rêve Les jours heureux ! C’était avant, je n’étais pas née, il y a près de quatre-vingt ans. Les Français avaient alors encore des rêves, du courage, de l’ESPOIR.

Comment Emmanuel Macron a-t-il osé parler de retour des jours heureux ? Ses jours heureux ne sont pas les nôtres. Ses jours heureux sont ceux où l’on peut délocaliser tranquillement, casser le Code du Travail, détruire les acquis sociaux, laisser diriger des lobbies ou des syndicats puissants qui ne représentent, pour la plupart, plus rien d’autre que les intérêts de leurs meneurs, à l’image des députés qui “soignent” leurs avantages. Comment Emmanuel Macron a-t-il osé parler de retour des jours heureux  sans craindre un retour de bâton ? Nous n’avons pas pu, pas su éviter l’entourloupe des promesses, hier, faisons cesser, aujourd’hui, les mensonges, les annonces vides et les mots creux.

Unissons-nous contre les virus et les parasites qui nous empoisonnent ! Levons la tête même si nous avons peur, il en va de l’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants, de l’avenir de tous.

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Une réflexion sur « Les jours heureux »

  1. pour moi il est clair que ce président est à la solde des lobbies financiers qui l’ont placé là pour accélérer le mondialisme !
    à quelque chose malheur est bon, à savoir que les pénuries de masques, tests, et aujourd’hui vaccins, montrent les dangers ce ce même mondialisme, mais il faut se méfier du caméléon qui a fait volte-face et voudrait nous faire croire qu’il est aujourd’hui souverainiste !
    Si c’ était vrai, on ne verrait pas Moussa et Castaner vouloir casser génération identitaire !
    N’oublions pas que la résistance est un devoir devant la volonté de destruction de notre France !
    Bon dimanche Françoise
    Bisous

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