Auteur/autrice : Francoise

  • Modelages en terre

    Voila ma première oeuvre figurative à la poterie. Elle date de quelques mois déjà. Je n’ai pas beaucoup produit dans ce style car je ne m’y sens pas très à l’aise. Je suis très critique à mon égard donc je suis forcément insatisfaite. Aurais-je le courage de persévérer un jour ?

    Que pensez-vous de ces petites dames ?

    Je me suis essayée à la sculpture, ou plutôt au modelage en terre pour ne pas créer que des saladiers, des pots, des assiettes, des vases, des plaques, des lampes, des tasses, des plats à gratin ou je ne sais quoi encore.

    Je vais essayer de vous montrer de temps en temps mes réalisations diverses dont certaines ont déjà été détruites lors d’accidents domestiques. Pas toujours chez moi ! Quelquefois chez d’« heureux et rares bénéficiaires » de mes créations.

    Ci-dessous les réalisations 2, 3 et 4. Elles montrent l’évolution : tout d’abord, il n’y a que la forme suggérée d’une femme (triste ou fatiguée) ; elle porte un long jupon, se cache les mains et le visage. J’ai ainsi supprimé toutes les difficultés, les détails compliqués. J’ai pensé en la modelant à une jeune esclave désespérée.

    Puis j’ai façonné deux femmes en train de se faire des confidences. Elles sont nues, on aperçoit leurs courbes mais elles n’ont pas de visage (c’est pour conserver leur anonymat mais surtout par souci de facilité).

    Les suivantes ont enfin des visages. Leurs formes sont plus ou moins harmonieuses cependant on peut constater mes progrès.

    Quoiqu’il en soit ma préférée reste la première parce que c’était la première et qu’elle semble tellement secrète. Je lui ai donné beaucoup d’émotions : ses émotions et les miennes…

    La difficulté que j’ai à réussir des visages fins m’a fait pratiquement renoncer à une nouvelle tentative. J’ai continué à produire des utilitaires ou pseudo utilitaires que je montrerai bientôt.

  • Recette du canard laqué

    Le canard laqué est une spécialité de Pékin mais on peut en manger à travers toute la Chine. Ce n’est pas une recette du Nouvel An, mais j’en avais envie et je l’ai fait.

    A Pékin, on mange un canard en trois fois, c’est-à-dire qu’il sert à la confection de trois plats :

    1 – la peau croustillante et un peu de chair avec des galettes Mandarin, dont je donne la recette hyper simple, juste après. Dans une galette, vous prenez un peu de peau et de chair finement découpées en cuisine avant le service, et des légumes verts ainsi qu’un peu de sauce Hoisin.

    Les légumes sont généralement des lamelles de concombre (julienne de concombre) et des tronçons d’oignons verts. Tous les légumes qu’on peut manger en salade sont susceptibles d’être utilisés comme garniture ainsi que la ciboule et des feuilles aromatiques (persil, menthe verte, origan, mélisse, etc.). La sauce Hoisin se vend en pots toute prête.

    Quant aux galettes mandarin, pour les faire, il faut :

    300 gr de farine, 25 cl d’eau bouillante, 2 cuillères à café de sucre en poudre

    Mélangez bien le tout dans un saladier, laissez refroidir, puis pétrissez pendant quelques minutes.

    Prélevez des boules de pâte de la grosseur d’une noix, étalez au rouleau en disque de 6 cms de diamètre. Huilez chaque galette sur une face, de préférence avec de l’huile de sésame mais n’importe quelle huile fait l’affaire.

    Regroupez les crêpes deux par deux en mettant face à face les parties huilées.

    Etalez à nouveau les doubles crêpes pour qu’elles mesurent 12 cms de diamètre. Faites cuire dans une poêle non adhésive, à peine huilée. Dès que des bulles, des boursouflures apparaissent, retournez la crêpe et laissez cuire l’autre côté (environ 2 mns de cuisson par crêpe). Réservez dans un papier aluminium. Au moment de servir, séparez les doubles crêpes et présentez dans un plat la face blanche au dessus.

    2 – la chair du canard est intégrée à un shop-suy de légumes (carottes, chou-fleur, champignons noirs, champignons volvaires…).

    3 – les os sont utilisés pour confectionner un bouillon avec des nouilles.

    Rien n’est perdu ; sauf que nous, occidentaux, nous oublions souvent de faire le bouillon.

    Venons-en à la recette du  canard laqué.

    Mais chut, je vous dis un secret. Vous pouvez acheter le canard laqué tout prêt surgelé dans les supermarchés. Il ne vous restera qu’à le faire cuire, vous évitez ainsi toutes les manipulations : laque et badigeonnage. Je ne donne pas le nom du distributeur sur le blog mais aux personnes intéressées je peux le communiquer. Pour tout vous dire, j’ai fait cuire hier un de ces canards surgelés et Joseph, les enfants et moi l’avons trouvé très bon. Un seul bémol : les conseils de cuisson sur l’emballage posent au moins un problème. Il est dit de faire cuire au micro-ondes un moment ; sautez cette étape car la taille du canard et celle du plateau tournant sont incompatibles. Faites donc cuire directement votre volaille au four traditionnel pendant 50 minutes, soit à la broche (le must) soit dans un plat à four (dans ce cas pensez à retourner la bête toutes les 10 minutes).

    Pour 6 personnes. Préparation : 30 min, sans compter le marinage. Cuisson : 2 h.

    ·  1 canard prêt à cuire d’environ 2 kg

    Pour la laque

    ·  1 cuillerée à café de sel

    ·  1 cuillerée à soupe de cinq-épices

    ·  1/2 verre de miel liquide (ou de mélasse ou de sucre roux ou même pour les Québécois de sirop d’érable)

    ·  1/3 de verre de sauce de soja

    ·  5 cuillerées à soupe de vinaigre blanc

    ·  2 cuillerées à soupe de vermouth (martini ou porto) blanc

    ·  2 cuillerées à soupe de fécule (riz, manioc ou pommes de terre)

    ·  2 gousses d’ail écrasées et finement hachées

    ·  10 g de levure chimique

    ·  du colorant rouge (facultatif)

    Préparation

    1/ Plongez le   canard entier dans de l’eau bouillante 30 secondes. Lavez, essuyez l’intérieur et l’extérieur.
    2/ Avec une grosse aiguille, faites de multiples trous dans la peau et la chair du canard.
    3/ Mélangez intimement dans un bol tous les éléments de la laque.
    4/ Mettez le  canard dans un plat profond. Arrosez-le et versez aussi un peu de laque dans le ventre.
    5/ Laissez mariner le  canard au moins 6 heures, au réfrigérateur de préférence, en le retournant et l’arrosant de temps en temps.

    Cuisson

    1/ Embrochez le   canard et faites-le cuire au four à 200°.
    2/ La cuisson dure environ 2 heures pour que la peau du canard devienne luisante et brun assez foncé.
    3/ Après la première heure de cuisson, badigeonnez le canard toutes les 10 min avec le reste de la laque.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Si la laque n’est pas assez sirupeuse à ce moment-là ou si elle est insuffisante, ajoutez-y un peu de miel afin d’obtenir un beau glaçage.


  • L’année du lapin : signification

    Quel contraste avec l’année précédente ! L’année du  Lapin est remarquable par la tranquillité qu’elle offre. Les esprits se sont apaisés. La révolution, c’est du passé ! Les réformes sociales, ça peut attendre ! Les héros sont fatigués et prennent maintenant goût à la douceur de vivre. Il est bien peu probable qu’on puisse assister à de grands bouleversements en une année du  Lapin.

    La vie mondaine connaîtra un essor peu habituel. Cocktails, réceptions, soirées et vernissages se succéderont à un rythme haletant. Des clubs artistiques se formeront même dans les villages les plus perdus. On songera enfin à apprécier de nouveau la poésie, la musique et la peinture.

    Donnez-vous à cœur joie à ce renouveau.
    Acceptez les invitations de vos amis ; recevez aussi souvent que vous le pourrez. Cela vous aidera à resserrer les liens amicaux existants ou à en créer d’autres. La chaleur humaine vous enchantera et vous immunisera contre la morosité et le découragement.

    Correspondez beaucoup aussi ; n’oubliez pas d’envoyer une petite carte ou un petit mot pour souhaiter bonne fête ou bon anniversaire à tous ceux qui sont proches de votre cœur. Téléphonez souvent à vos parents et vos connaissances pour bavarder au sujet de tout et de rien.

    Adonnez-vous aussi à un passe-temps artistique. Le  Lapin vous aidera à surmonter les premières difficultés rebutantes. Bien sûr, vous ne deviendrez jamais un grand artiste si vous n’êtes pas particulièrement doué. Mais est-ce qu’il faut absolument atteindre les sommets de l’art pour en tirer des satisfactions ? Apprenez à peindre et goûtez la joie de manier le pinceau. Écrivez des poèmes, même si ce n’est que pour les réciter devant vos amis lors d’une soirée intime. Et pourquoi ne cherchez-vous pas à dire des mensonges poétiques dans vos lettres d’amour ? Et pourquoi n’apprenez-vous pas à jouer de la guitare afin de pouvoir exprimer vos sentiments de façon émouvante sous la fenêtre de votre belle ? Vous trouverez la vie merveilleuse si elle vous apparaît sous une apparence poétique. Mais cette apparence, vous pouvez la lui donner.

    L’année du  Lapin sera également favorable au règne de la justice, le  Lapin étant, pour des raisons obscures, associé aux magistrats. Ce sera précisément le moment de procéder à une vaste réforme judiciaire dont tous les pays du monde ressentent le besoin. Les hommes de loi seront prospères. Mais attention aux activités plus ou moins louches qui ne passeront probablement pas inaperçues ou impunies ! Surtout pas de tentative d’adultère, sinon les huissiers se rempliront les poches à vos dépens !

    L’enfant né en été aura plus de chance d’être heureux : le  Lapin n’aime ni la pluie ni le froid.

  • Nouvel an chinois : c’est l’année du Lapin

    Proverbe chinois :

    « Si tu tapes ta tête contre une cruche et que ça sonne creux, n’en déduis pas forcément que c’est la cruche qui est vide. » (suite…)

  • Philosophons légèrement le matin

    Une petite citation

    Alain, Propos sur le bonheur.

    « Il est bon d’avoir un peu le mal de vivre et de ne pas suivre une route toute unie. Je plains les rois qui n’ont rien à désirer ; et les dieux, s’il y en a quelque part, doivent être un peu neurasthéniques. Le bonheur suppose sans doute toujours quelque inquiétude, quelque passion, une pointe de douleur qui nous éveille à nous-même. »

    Et une de plus que je dois apprendre par coeur :

    « Il est bien vrai que nous devons penser au bonheur d’autrui mais on ne dit pas assez que ce que nous pouvons faire de mieux pour ceux qui nous aiment c’est encore d’être heureux. »

    Je dois aussi retenir que nous devons nous aimer un peu pour aimer correctement les autres et pour qu’ils puissent nous aimer.

    ***

    « Le bonheur est souvent la seule chose qu’on puisse donner sans l’avoir et c’est en le donnant qu’on l’acquiert.« , Voltaire

    Quel homme que ce Voltaire ! Quel esprit ! Fin, vif, acéré, dérangeant… Il est l’auteur de nombreux bons mots que j’apprécie. La citation suivante correspond tout à fait à ma façon de voir les choses, à mon comportement, et mes proches savent pourquoi aujourd’hui elle est particulièrement appropriée.

    « On doit des égards aux vivants ; on ne doit aux morts que la vérité.« 

    Pas d’éloge funèbre hypocrite ! En voilà un par contre qui mérite d’être lu.

    Prononcé ou plutôt écrit en 1793 par le Père Duchesne (autrement dit Hébert), il mérite d’être connu.

    Devinez ce qu’il est advenu de son auteur… Guillotiné le 24 mars 1794 à Paris. Les vérités ne sont pas bonnes à dire. Et pourtant, c’est tellement bon de la dire, de la crier même quelquefois.

    Eloge funèbre de Louis Capet par le Père Duchesne

    « CITOYENS,

    Vous n’êtes pas assez jean-foutres pour écouter des mensonges et des flagorneries, je ne suis pas foutu non plus pour vous en débiter ; c’est donc la vérité pure qui va sortir de ma bouche, et c’est la première fois qu’on l’aura entendue dans une oraison funèbre, et, surtout dans celle d’un roi, foutre. A la mort de ces tyrans les ci-devant grands aumôniers, les archevêques, les évêques, tous les cordons bleus de la calotte allaient déterrer dans les greniers, de pauvres auteurs crottés pour leur fabriquer un beau discours en l’honneur du prince trépassé. Le cuistre en habit noir inventait mille mensonges, que monseigneur le prélat apprenait ensuite par coeur, et débitait effrontément. Chaque mot était un blasphème contre la raison, en un mot, c’était ni plus ni moins que les comptes bleus dont le vertueux Roland fait tapisser les rues par les griffoniers qui sont à ses gages. Le roi défunt avait-il été un ivrogne fieffé, le cafard mitré soutenait qu’il n’avait bu que de l’eau toute sa vie, avait-il été un putassier dévergondé, c’était la sagesse même, avait-il fait égorger des milliers d’hommes, on le représentait comme le plus humain et le plus pacifique des monarques, avait-il mis le pauvre peuple à sec à force d’impôts et de grugeries, on ne craignait pas de vanter sa bienfaisance et son humanité.

    C’est pour venger l’honneur des Français, d’avoir pu entendre si longtemps de pareilles sottises, foutre, que je vais parler enfin d’un roi, dans les termes qu’il convient. »

    Note de la rédactrice : vous pouvez remplacer « foutre » par « fuck » pour plus de modernité.

    A bientôt.

  • C’est quoi le bonheur ?

    Il est tard et c’est l’heure de dormir mais j’avais envie d’écrire quelques mots.

    Les idées se troublent, se mélangent, les airs et les paroles de chansons aussi. Dominent Cali « c’est quand le bonheur », Sensemillia « tout le bonheur du monde »… Je ferai bien d’aller me coucher. Je pense au « bonheur », ce bonheur recherché par tous ne prend pas la même « forme » pour chacun de nous.

    Au début d’une année, quand les journalistes s’en donnent à coeur  joie avec leurs micro-trottoirs « Vous souhaitez quoi pour cette année qui commence ? » Je suis effarée par les réponses. Les souhaits « du fric, du fric, du fric ». C’est impensable de n’avoir plus que ce mot à la bouche. La santé me semble quand même l’essentiel. Si l’argent contribue au bonheur, il est loin de le faire à lui tout seul. Comment en est-on arrivé là ? Dans cette société, il n’y a plus que le fric, le commerce, le paraître, des besoins ou plutôt des envies dont la satisfaction doit être immédiate. Qui est encore capable de rêver, de créer juste pour le plaisir ? Je sais qu’il y a toujours des artistes, des idéalistes, des optimistes, des utopistes, mais ils ne sont pas légions et encore moins majorité.

    Mais ma question initiale était « c’est quoi le bonheur ? » Comment définir ce concept au mieux ?

    « Etat essentiellement moral atteint par un individu lorsqu’il a obtenu tout ce qui lui paraît bon, qu’il a pu satisfaire pleinement ses désirs, accomplir ses diverses aspirations, trouver l’équilibre dans l’épanouissement harmonieux de sa personnalité ». Je trouve cette définition assez satisfaisante pour commencer, toutefois le bonheur peut être plus simple : petits détails du jour à saisir au vol., successions de petits bonheurs, de petits plaisirs.

    Les textes sur le sujet ne manquent pas. En voilà un d’ André Gide, Les nourritures terrestres.

    « Il y a sur terre de telles immensités de misère, de détresse, de gêne et d’horreur, que l’homme heureux n’y peut songer sans prendre honte de son bonheur. Et pourtant ne peut rien pour le bonheur d’autrui celui qui ne sait être heureux lui-même. Je sens en moi l’impérieuse obligation d’être heureux. Mais tout bonheur me paraît haïssable qui ne s’obtient qu’aux dépens d’autrui et par des possessions dont on le prive. »

    Ce texte donne à réfléchir sur notre monde à deux vitesses : haïssable le bonheur qui « ne s’obtient qu’aux dépens d’autrui et par des possessions dont on le prive »…

    A plus tard. Je vais dormir.

    Un petit bonheur : de la couleur.

    Compotier réalisé de mes mains à l’atelier de Saint Gilles

    Compotier en terre cuite

  • Pas morte mais bien silencieuse !

    Plus d’un an après mon dernier passage et après quelques réalisations supplémentaires à la poterie, je vais essayer de me mettre vraiment à l’écriture sur ce blog.

    Par quoi commencer ? Mes réalisations à en terre ? Les événements marquants des ces longs mois silencieux ? Les voyages ? Les projets ? Dur, dur de mettre de l’ordre quand il y a tant à dire. Je vais essayer de trier et surtout de voir comment ça fonctionne dans un blog.

    Peut-être vais-je d’abord parler de la pluie et du beau temps… Ca peut être un début. Ou alors de mon statut de grand-mère… Si je me souviens bien, la dernière visite sur ce blog date du 14 septembre 2009, et je suis devenue officiellement grand-mère le 15 septembre, soit le lendemain de cette visite !

    Le 15 septembre 2009, un petit Raphaël est venu agrandir ma tribu. Petit, c’est vite dit car le jeune homme pesait 4,430 kilos et mesurait 55,5 cms. Un an plus tard, il a continué à grandir, il a tout plein de dents et tout plein de cheveux (la coiffeuse fait des affaires), il est très très mignon et il occupe bien sa place. Je ne suis pas totalement gaga devant ce petit bout de chou mais j’en suis très fière.

    2010 a vu un autre événement marquant : le mariage d’Amandine, ma deuxième fille, et ce, en deux épisodes : le premier épisode en août en métropole, le second épisode en octobre à la Réunion.

    L’année du Tigre a été dure pour mon compte en banque mais l’argent est fait pour circuler, non ?

    L’année du Lapin approche. Voilà encore de quoi bavarder avec les années chinoises…

    Je vais mettre de l’ordre dans mes idées et je reviens dans un moment.

  • Coup d’essai

    Voilà bien longtemps que je voulais ajouter quelques mots dans mon blog pour essayer de le faire vivre, mais difficile quand on est novice, blonde, et bientôt grand-mère de se lancer. Ce soir, Thibault m’a montré comment mettre une photo dans un texte alors, je vais essayer.

    Deux photos d’un coup… Deux de mes oeuvres de potière destinées à la chambre de mon petit-fils (qui tarde à arriver).

    Pour éclairer la chambre donc un soleil et plus tamisée la lumière d’un nuage d’orage.

    Nuage d'orage pour éclairer doucement la chambre de Bébé
    Nuage d'orage pour éclairer doucement la chambre de Bébé
    Un soleil pour éclairer plus vivement la chambre de Bébé
    Un soleil pour éclairer plus vivement la chambre de Bébé

  • En métropole, c’est le printemps depuis un moment déjà.

    Ca y est, c’est le mois d’avril qui se termine et toujours rien sur ce blog.
    Je n’ai pas vraiment honte, mais quand même… Je vais sans doute passer pour une demeurée si ce blog ne vit pas un peu. Il est vrai que j’ai des tas d’excuses. Outre le fait que je ne suis pas compétente, ni vraiment férue d’informatique, j’ai beaucoup bougé ces derniers temps. Je n’étais pas trop à la maison. J’ai en effet quitté mon île (La Réunion) pour rendre visite à deux de mes enfants, accompagnée par la troisième (qui est l’aînée, en vérité). (suite…)

  • Le temps passe trop vite

    Plus d’un mois que, grâce à Thibault, j’ai un blog. Malheureusement, ce blog est toujours aussi vide. Je n’ai rien écrit parce que je remets toujours à demain… Procrastination, quand tu nous tiens !
    D’une part, le temps passe trop vite (de plus en plus vite d’ailleurs quand on vieillit) et d’autre part, je me sens un peu « niaiseuse » devant mon clavier et mon blog. J’ai envie de mettre tant de choses : des idées en vrac, des recettes, des modèles de tricot, de la couture, des envies et des photos de voyage… J’ai peur que ça ne ressemble à rien si ce n’est à un bric-à-brac confus. Alors je regarde de temps en temps ce que font les autres et je me sens vraiment vraiment pas au point. Vais-je oser aller plus loin ?