
En 2018, 1 200 personnes déterminées, prêtes à la bagarre face à des forces de l’ordre nombreuses et expérimentées, cela pourrait finir de manière tragique mais les consignes données à la police étaient de ne surtout pas faire couler le sang. Qui a peur et de quoi ? Vaut-il mieux de nombreux dégâts matériels que des victimes (morts ou blessés) ? N’y a-t-il pas de manipulations de l’opinion derrière tout ça ?
Je vois bien la différence entre les manifestants de Germinal et ceux de 2018 : les premiers se battaient pour leurs conditions de travail (horaires, salaires…) mais les black-blocs de 2018 sont des casseurs « purs et durs ». Ce qui est inquiétant, à mes yeux, c’est que ces groupes recherchent d’autres manifestations pour reproduire ces violences et que l’attitude de la police est curieuse; Obéir aux ordres certes mais jusqu’à quel point ?.
Si les manifestations venaient à se multiplier comme en mai 68 pour cause de mécontentements nombreux, il pourrait y avoir une « flambée » du mouvement des black-blocs. Notre cher président pourrait avoir sa commémoration de Mai 68, non officielle, libre et coûteuse moi, je crois qu’il se serait bien plus drôle de commémorer les Shadoks nés en 1968 aussi, non ?
Je finis avec l’une de mes devises préférées :

Je soupçonne Macron de préférer celle-là :
Les retraités qui ne voteront pas longtemps encore par exemple.
Allez bonne fin de journée.
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