Heureusement que je n’ai pas l’amour du fric car je serais malade et désespérée depuis bien longtemps. Voilà un billet que j’avais écrit, il y a quelques mois et qui est dans la même ligne que celui que j’ai publié le 5 décembre dernier (la loi nous protège).
Aucun citoyen n’est protégé par la loi contrairement à ce qu’on veut nous faire croire. La loi du plus fort, celle du plus menteur, du plus intéressé est celle qui fonctionne. Les textes de loi sont juste faits pour nous faire croire que notre société est bien organisée mais ce n’est pas la vérité, loin s’en faut.
Comme le je l’ai dit déjà dit mieux vaut rire de tout que de se plaindre, pleurer et gémir sans cesse. En bon petit soldat courageux, je continue à sourire et même à chanter. Amour du fric quand tu nous tiens… Me reviennent en mémoire deux milliardaires et un feuilleton américain dont je ne connais que le générique : « L’amour du risque ». Risquent-ils leurs vies ou simplement leurs sous ?
J’oublie les sous une moment et je reviens au problème que je posais au début : aucun citoyen n’est protégé par la loi. Je vous rappelle pour mémoire l’Article VI de la Déclaration universelle des droits de l’homme : « La Loi est l’expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.«
J’ai envie de vous chanter « Paroles »
Bien trop beau… Paroles.
Je viens une fois de plus de me rendre compte que l’on peut se faire flouer par sa famille, ceux-là même qui vous protègent normalement. Voyez, je ne parle même plus d’amour. Je n’attends plus rien d’eux dans ce domaine, c’est trop tard quand la mort est passée. Peut-on toujours et encore espérer des vivants ?
Rapiangs (avares en créole) et accapareurs, gardez les sous et grand bien vous fasse ! (Je pense plutôt « étouffez-vous avec », c’est moins charitable, moins chrétien mais tellement plus sincère.) Moi je suis plus légère… de ce côté-là, le porte-monnaie, j’entends.
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