Moi, j’aime les mots, pas les mots de Macron « qui se la pète » et que je ne veux pas écouter (je les entends quand même), j’aime les mots en général. Notre président les aime aussi mais cet amour ne semble exister que pour mettre de la distance entre lui et nous. Plus que de la distance, espace mesurable, c’est un décalage qui existe, un manque de concordance. Il ne peut pas ou ne veut pas comprendre ce que désire le peuple français : il suit SA route.
Nous sommes encore quelques-uns à partager cet attachement, voilà la relève :
J’aime les motsQu’on dit très hautLes courageux
Pourvu que cette passion dure !
Moi j’aime aussi :
- les bons mots
- les mots d’esprit
- les mots d’enfants
- les mots doux, les mots tendres,
- les « gros » mots, quelquefois
- le mot de Cambronne, vous le connaissez tous le mot de cinq lettres, euphémisme pour « merde »
- avoir les mots pour le dire
- avoir mon mot à dire
- trouver le(s) mot(s) pour rire
- connaître le fin mot d’une histoire
- entendre le mot de la fin
- avoir le dernier mot aussi.
Je n’aime pas :
- les grands mots
- les mots en l’air
- le mot-à-mot
- ne pas comprendre un traitre mot
- avoir des mots avec quelqu’un
- les mots d’ordre : consignes communes aux membres d’un groupe, d’un parti dans des circonstances précises, en particulier pour un syndicat, un parti politique.C’est aussi en terme militaire, un ensemble de deux mots conventionnels constituant un signal de reconnaissance, et qui doivent être échangés entre une sentinelle (mot de sommation) et un isolé ou un groupe qui s’approche (mot de passe).
Comme je suis une grande naïve, il m’arrive de tout prendre au mot et, bien que timide, je reste rarement sans piper mot .
Comme souvent une chanson pour finir : du bon Renaud.
Poèmes, chansons, brulots
Vous ouvrent des mondes plus beaux
Des horizons toujours nouveaux
Qui vous éloignent des troupeaux
Attention, je crois ne pas avoir dit mon dernier mot sur le sujet.
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