En terminant un de mes billets, j’ai constaté que l’un des anagramme de domiens était dominés. Je ne vais pas m’étendre sur le sujet des dominants et des dominés mais je vais m’amuser avec les lettres du mots DOMIENS. Il faut reconnaître que pendant longtemps les nouveaux arrivants dans les DOM (les anciennes colonies) ont considéré les autochtones comme des êtres inférieurs.
Oui, les indigènes n’avaient pas les mêmes droits que les autres Français et les distinctions étaient subtiles. J’ai été surprise par le statut des «indigènes citoyens français», des Français entièrement à part, utilisés en cas de besoin, oubliés le reste du temps, comme le sont toujours, quoi qu’on en dise, les originaires des DOM.
Étaient de statut civil français les originaires des colonies de la Martinique, de la Guadeloupe, de la Réunion et de la Guyane française ; les originaires des de Saint-Pierre-et-Miquelon, et quelques autres. C’est toute une histoire. Ue autre histoire, un autre jour.
Pour le moment j’ai envie de m’amuser avec les lettres de DOMIENS, sans doute influencée par cette semaine de la francophonie.
Les plus longs, à part dominés : démons, moines, mondes.
Puis une longue suite de cinq lettres : Denis, demis, dimes, dînes, dômes, endos, iodes, miens, mines, modes, moins, monde, médis, noies, noise, omise, ondes, sonde, émois.
Je suis sûre qu’il y en a d’autres mais je m’arrête, j’ai d’autres choses à faire.
Ceux-là déjà m’ont donné à réfléchir.
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