Je n’ai pas dit « mort ou vif », ça, c’est une autre histoire. Juste trois citations intéressantes.
Hubbard : « Ne prenez pas la vie trop au sérieux ; de toutes façons, vous n’en sortirez pas vivant ».
André Comte-Sponville : « Philosopher c’est apprendre à vivre non à mourir. Pourquoi apprendrait-on à mourir d’ailleurs puisque on est sûr d’y arriver puisque c’est le seul examen, comme disait un vieux professeur, que personne n’ait jamais raté ? »
Cicéron : « On envisage la mort avec sérénité si au moment de mourir on peut être fier de sa vie. »
Voilà, c’est cette troisième phrase que je fais mienne depuis quelques temps. Partir en pouvant se dire que même sans être vraiment fier, on n’a pas à rougir de ce qu’on a vécu. Pas de mauvaises actions sur la conscience, de celles qui nuisent à autrui.
Combien d’humains partent sereins ? Certains ont bonne conscience alors qu’ils ont beaucoup de choses à se reprocher. Sont-ils sereins alors qu’ils se sont menti à eux-mêmes ?
Conclusion personnelle : la mort, c’est un départ qui se prépare tout au long de la vie.
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