Catégorie : Culture

  • Salvo et Barolo

    Je vous ai promis de vous parler du palais Salvo (Palacio Salvo), édifice emblématique de la ville de Montevideo, qui s’élève sur le côté est de la place de l’Indépendance, à l’angle de l’avenue du 18 juillet (1830, date de la première constitution de l’Uruguay).

    Avec ses 95 mètres de hauteur, il est le deuxième bâtiment le plus élevé d’Amérique du Sud et le demeure jusqu’en 1935 quand apparaît l’immeuble Kavanagh de Buenos Aires. Le voilà ! (suite…)

  • Carlos Gardel (2)

    Carlos Gardel, «Carlitos» pour les intimes, Carlos Gardel, le roi du tango est bien français. De multiples enquêtes ont été faites à ce sujet, il en ressort que s’il a plusieurs fois changé d’identité c’est pour brouiller les pistes et surtout pour effacer son passé. Pour tout dire, lui, il n’a pas grand chose à cacher par rapport à tant d’autres. (suite…)

  • Carlos Gardel (1)

    Si vous êtes Français et qu’un Argentin vous demande d’où vous venez, si vous répondez « Toulouse » alors, tout de suite, il vous dira comme « Comme Carlos Gardel, c’est ça ? »  Toulouse est donc une ville connue en Argentine, autant sinon plus que Paris.

    Savez-vous que la voix de Carlos Gardel a été déclarée patrimoine de l’Humanité par l’UNESCO ? (suite…)

  • Maté

    Pour un Uruguayen ou un Argentin, et même pour tous les habitants d’Amérique du Sud, préparer un bon maté selon la méthode traditionnelle est tout un art. C’est à la fois comme le thé des Chinois, des Japonais ou des Britanniques ou encore le café des Turcs ou même des Italiens.

    En ce qui concerne le maté, je suis allée prendre ma leçon en Uruguay. Il faut ce qu’il faut… et il faut surtout le produit et le matériel. (suite…)

  • Colonia

    Encore un film en rapport avec mon voyage. Après l’Argentine et sa dictature, le Chili sous Pinochet et ce film que j’ai vu : « Colonia ». Un film récent, sorti en France le 20 juillet 2016, de Florian Gallenberger avec Emma Watson, un film franco-germano-luxembourgeois. (suite…)

  • Le doodle d’hier

    J’aime bien les Google Doodles, pas vous ? J’aime bien ces doodles, petites animations créées pour célébrer des événements particuliers : les fêtes nationales, les anniversaires d’illustres personnages ou d’autres événements. Avez-vous bien vu celui d’hier, le 29 décembre 2016 ? Moi, il m’a intrigué. Regardez-le :

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  • Les marchés de Noël

    Je vous ai promis hier un peu d’histoire des marchés de Noël, voilà c’est parti, je vous raconte le peu que je sais. Depuis quelques décennies, les marchés de Noël se multiplient en France car ils rapportent de l’argent aux commerçants certes, mais aussi aux communes et à l’état. Les marchés de Noël sont des opérations commerciales et le côté religieux de la date est oublié ; dans notre monde de moins en moins chrétien la célébration de la naissance de Jésus est abandonnée peu à peu. (suite…)

  • Ligne Sigfried

    Connaissez-vous la chanson « On ira pendre notre linge sur la ligne Siegfried » (We’re Going to Hang out the Washing on the Siegfried Line)  ? C’est une chanson irlandaise chantée pendant la Seconde Guerre Mondiale en Europe, en 1939 et reprise par les soldats français. Il a fallu attendre le milieu des années quarante pour que la chose se fasse. Moi, par hasard, hier, j’ai vu la ligne Siegfried. (suite…)

  • Rhin et sapins

    Est-ce la proximité du Rhin, cet immense fleuve, que je me souviens d’un poème de Guillaume Apollinaire étudié à l’école primaire, il y a donc plus de cinquante ans ? Certes, je l’avais relu en étudiant de manière très approfondie le recueil « Alcools » mais je n’ai jamais oublié la première découverte. En ce temps-là, Messieurs-Dames, on n’avait pas de pitié pour les cervelles enfantines, on les emplissait, on les remplissait, vaille que vaille, coûte que coûte. Et voilà, je n’ai pas oublié.

    « Les sapins » qui sont à l’honneur en ce mois de décembre.

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  • Polars

    J’avais toujours considéré les polars comme une sous-littérature juste bonne à faire passer le temps dans les trains. Je croyais que les San Antonio n’étaient que des ramassis de grossièretés et que tous ces « Fleuve Noir » de la prose de bas étage. Or, un jour, dans la librairie à côté du lycée où je travaillais, comme je parlais d’Australie, un pays où j’aimais partir en vacances, la responsable du magasin me conseilla de lire Arthur Upfield et c’est là que j’ai découvert Napoléon Bonaparte dit Bony, un inspecteur australien, à moitié aborigène. (suite…)