Depuis le 7 février, Raphaël et Morgane ont une cousine : Alice, et moi, je suis grand-mère trois fois, je l’avais annoncé illico sur mon blog.
Puis les jours ont passé et demain je rencontre «la merveille».
Je me suis renseignée sur les Alice, et voilà ce que j’ai trouvé :
Les Alice sont vives, alertes, enjouées, charmantes et élégantes, cherchent à plaire ainsi qu’à faire plaisir. Elles apparaissent extraverties et ont besoin des autres pour se sentir exister. Douées de facultés d’élocution et d’expression, elles adorent être en représentation, parler et échanger leurs idées. Elles sont spirituelles et éprouvent un plaisir certain à amuser leur entourage. Excellentes comédiennes, adaptables, capables de mimer les défauts d’autrui, elles possèdent un esprit critique et un sens aigu de l’observation. Rapides et malignes, elles savent facilement se tirer d’embarras. Elles sont curieuses et intéressées par tout. Elles n’engendrent guère la mélancolie, aiment le jeu et les amusements. Elles sont des bavardes intarissables qu’il faut écouter attentivement. Généreuses et intéressées par les autres, elles peuvent paradoxalement se comporter manière égocentrique. Il serait souhaitable qu’elles aient des frères et sœurs. Elles devraient participer à des activités de groupe afin de développer leur sens de la solidarité.
Ah ben, je sens qu’on ne va pas s’ennuyer. Tant mieux ! J’aurais bientôt un tribu bruyante autour de moi. Va quand même falloir un peu canaliser tout ça, non ?
Alice… Alice Springs… Des souvenirs de vacances, il y a quelques années, avec mes trois enfants : une ville où dans la journée, en juillet-août, on peut passer de -4° à +35°, le froid – le chaud (j’ai senti, je m’en souviens bien), c’est aussi le silence et le bruit, le jour très ensoleillé et la nuit «obscure et sombre», enfin pas vraiment, peu de lumières artificielles et énormément d’étoiles. 
Une ville en plein désert avec des supermarchés et des bars ouverts 24h/24. Surprenante Alice ! 
C’est celui qui installa la ligne de télégraphe Darwin-Adélaïde, Charles Todd, qui baptisa la ville du prénom de sa femme. Avant la ville s’appelait Stuart ; il en reste la Stuart Highway : 2 834 kilomètres du nord au sud.
La route continue de Port Augusta à Adélaïde (les Australiens disent Ad’laide et j’ai eu du mal à comprendre la première fois).
Curieux deux villes portant le même nom en quelque sorte : Alice et Adélaïde, une seule et même femme. Étymologiquement, Alice signifie » de noble race « , c’est la version française du vieux prénom germanique Adalheidis qui a donné plus tard Adélaïde. Alice s’est d’abord écrit Adalis, puis Alis, avant de s’orthographier Alice.
A d’main… Je vous parlerai d’autre chose. Les sujets ne manquent pas. Jamais.
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