Que de questions en ce moment. Des questions sans réponse pour l’heure mais qui posent d’autres questions. C’est ça, nous sommes face à des questions gigognes, des questions qui s’emboitent les unes dans les autres.
Dès que l’une ou l’autre de ces questions est posée, c’est comme si on tirait un fil et que tout un écheveau embrouillé de problèmes suivait. On y trouve mêlés les problèmes les plus « moisis » dirait mon fils, des problèmes que les uns croyaient avoir traités, ceux qui ont reçu une solution partielle, ceux qui ne peuvent avoir qu’une solution globale, ceux dont les solutions étaient contestées, ceux qui ont été éludés, ceux qui sont remis sine die (à des jours meilleurs ?), ceux qui sont regroupés en thèmes difficiles pour ne pas être résolus, ceux qui n’ont pas de solution, ceux enfin qui lassent tout le monde car on ne cesse d’en parler ou de faire semblant de les traiter (le terrorisme, la sécurité…) et que rien ne change sinon en pire.
Moi, la conclusion que je tire, c’est que l’on nous ment de plus en plus, à tous les niveaux, sans vergogne, en résumé que c’est le règne du paraître, de l’hypocrisie.
Où est passé l’avion, le Boeing de Malaysia Airlines ? Panne, problèmes techniques, détournement, pirates, terroristes… ? Des questions, encore des questions et après cinq jours pas de réponse.
Qui écoutait Nicolas Sarkozy ? Qui savait ? Qui ment ?
Qui veut quoi ?
Triste monde ! Moi je voudrais un monde plus simple, plein de franchise, d’honnêteté d’amour. Je rêve.
Vous souvenez-vous de Daria ? Daria Morgendorffer, une lycéenne à l’humour sarcastique, cynique, un peu marginale dans laquelle bon nombre de jeunes se sont retrouvés (et même moi).
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