Ce dimanche, je vais donner dans le politiquement incorrect. Je suis fatiguée d’entendre sans cesse de nouveaux interdits souvent destinés simplement à me prendre toujours plus de sous et de voir les gens se complaire dans le politiquement correct : utiliser abondamment la locution adverbiale « un peu », l’euphémisme, les périphrases, les circonlocutions, voire des néologismes à profusion… (suite…)
Gentillet aujourd’hui, et pour sourire des histoires de pirates et de marins suivies d’une petite mise au point, genre leçon de vocabulaire sur les différences entre corsaires et pirates. (suite…)
On avance, on avance, on avance.
C’est une évidence :
On a pas assez d’essence
Pour faire la route dans l’autre sens.
On avance. (suite…)
Un nouveau dimanche, un thème : le commerce. « Quand on pense qu’il suffirait que les gens ne les achètent pas pour que ça ne se vende plus. », c’est une lapalissade de Coluche », le principe même du boycott. Alors pourquoi la presse people vit-elle si bien malgré les condamnations et les dommages et intérêts qu’elle doit payer ? Parce que certains achètent ces torchons, à 1,50€ le numéro. On a la presse qu’on mérite. (suite…)
Et si, ce dimanche au lieu de parler de cette fête des grand-mères, je vous faisais rire avec la politique et un homme pas vraiment drôle, un homme que je n’arrive pas respecter : notre Président, élu non pour lui ou son programme mais contre son adversaire, un homme qui avait promis solennellement : « Moi, président de la République, je ferai en sorte que mon comportement soit à chaque instant exemplaire. » On a vu… Alors mieux vaut en rire. (suite…)
La Saint Valentin, la fête des amoureux est passée, je sais, il n’empêche qu’on peut en rire aussi. Voilà comment. (suite…)
Ah, les chefs ! Les chefs et la gestion d’entreprise, il y a toujours de quoi sourire surtout le dimanche. (suite…)
Tant qu’on peut rire encore… de la police, profitons-en, c’est dimanche.
Comme nous venons d’entrer dans l’année chinoise du cheval, je commence par vous offrir une pensée chinoise : « Qui veut être riche ne sera pas bon ; qui veut être bon ne sera pas riche ». Quelqu’un a dit « je n’aime pas les riches » mais il ne vit pas comme un pauvre (et il a largement plus de 4 000 euros de revenus mensuels, n’est-ce pas ?) Ceci dit, je vous propose de rire des riches aujourd’hui. (suite…)