Pierre Dac encore

Misogynie ou simple lucidité ?  Simplement l’envie de faire rire chez ce loufoque. Moi j’ai envie de dire qu’en tous les cas, il ne savait pas compter puisqu’il disait : « Echangerais trois fois rien contre deux fois plus ». Or rien, c’est zéro et deux fois zéro, c’est toujours zéro. Non ?

Certains osent dire que les femmes ne savent pas compter (souvent elles le font mieux que les hommes). D’autres ajoutent qu’elles ne savent pas lire les cartes routières, ni conduire, ni, ni, ni… et pourtant sans elles le monde ne tournerait pas.

Alors quelles sentences de Pierre Dac à propos des femmes ?

* Les femmes, c’est comme les chaussures : quand on les quitte, il faut y mettre les formes. (Je suis bien d’accord mais les bonnes manières se sont perdues, il y a bien longtemps déjà, plus personne ne soigne ses chaussures avec attention).

* À l’égard de quelqu’un qui vous prend votre femme, la pire vengeance est de la lui laisser. (Phrase attribuée aussi à Sacha Guitry qui ajoutait « Ce qui fait rester les femmes, c’est la peur qu’on soit tout de suite consolé de leur départ. » ou encore « Une femme qui s’en va avec son amant n’abandonne pas son mari : elle le débarrasse d’une femme infidèle« . A-t-il un jour digéré le départ d’Yvonne Printemps pour Pierre Fresnay ?)

* Un concerné n’est pas forcément un imbécile en état de siège pas plus qu’un concubin n’est obligatoirement un abruti de nationalité cubaine.

* Les meilleurs moments de la vie à deux, c’est quand on est tout seul.

Il ajoutait pourtant : Moi les femmes, je suis contre… Tout contre... car il les aimait beaucoup. (Trop ?)

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