Polars

J’avais toujours considéré les polars comme une sous-littérature juste bonne à faire passer le temps dans les trains. Je croyais que les San Antonio n’étaient que des ramassis de grossièretés et que tous ces « Fleuve Noir » de la prose de bas étage. Or, un jour, dans la librairie à côté du lycée où je travaillais, comme je parlais d’Australie, un pays où j’aimais partir en vacances, la responsable du magasin me conseilla de lire Arthur Upfield et c’est là que j’ai découvert Napoléon Bonaparte dit Bony, un inspecteur australien, à moitié aborigène. Continuer la lecture

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