C’est dimanche (153)

Les différences de couleur, de culture causent bien des problèmes entre les hommes. Quelques exemples pour vous faire sourire. C’est dimanche.

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Donald MacDonald, un Écossais de pure souche, s’expatrie à Londres pour poursuivre ses études supérieures. Après son premier mois de scolarité, il reçoit la visite de sa maman dans sa chambre de résidence universitaire.
– “Alors, comment sont les étudiants anglais, Donald ?”, demande-t-elle.
– “Ils sont exécrables maman. Ce sont vraiment des gens bruyants et sans-gêne. Tous les soirs par exemple, mon voisin de la chambre à ma droite n’arrête pas de se cogner la tête contre la paroi. Quant à mon voisin de la chambre située de l’autre côté, tout ce qu’il sait faire c’est hurler et hurler encore ! Chaque soir, il hurle;
– Oh mon pauvre Donald ! Comment arrives-tu à supporter ces malappris anglais ?
– Maman, je ne fais rien du tout. Je les ignore. Je reste là calmement assis sur mon lit à jouer de ma cornemuse.”

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Un touriste lit sur la carte d’un restaurant africain : “Caviar pour 1 euro”.
Sur chaque table il y a une noix de coco et une paire de lunettes noires.
Il commande donc le caviar.
On lui sert un bol qui semble contenir de la semoule plutôt que des œufs de poisson. Il appelle alors le patron:
– “J’ai demandé du caviar, non ?
– Mettez les lunettes de soleil !”

Et oui, il suffit d’un peu d’imagination.

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Trois Coréens du nord sont emprisonnés. Ils expliquent pourquoi on les a arrêtés.
Le premier dit:
– “Je suis arrivé au travail avec dix minutes de retard. J’ai été accusé de sabotage.”
Le second dit:
– “Je suis arrivé au travail avec dix minutes d’avance. J’ai été accusé d’espionnage.”
Et le troisième:
– “Je suis arrivé au travail à l’heure exacte. On m’a accusé d’avoir une montre de Corée du Sud, donc de contrebande.”

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Une mouette passe au-dessus d’un touriste hollandais et il reçoit du “guano” dans l’oeil (en clair, une merde d’oiseau).
– “Ah non ! C’est pas possible !”
Il s’essuie l’oeil. Son ami lui dit alors :
– “Tiens, j’ai du papier hygiénique dans mon sac à main.
– C’est trop tard, elle est déjà partie, la mouette!”

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En France, dans la région alsacienne, par manque de main d’œuvre les vignerons ont engagé des étrangers pour les vendanges et parmi eux un Africain, Léopold, qui parle mal le français. Après la première journée de vendanges, l’épouse du vigneron inquiète demande donc à Léopold comment s’est passé ce premier jour de travail.
– “Oh très bien madame ; il y a une bonne ambiance, tout se passe bien et aujourd’hui nous avons coupé la riesling.”
– “Tant mieux mais non on ne dit pas LA riesling, mais LE riesling.”
– “Ah bon ? J’ai fait une erreur sur LE. merci, Madame, je vais m’en souvenir.”

À la fin de la seconde journée, la dame lui demande à nouveau comment la journée s’est passée :
-” Oh très bien madame, l’ambiance est très bonne malgré le travail un peu dur, je me plais bien, les copains sont chouettes aujourd’hui nous avons coupé la Gewurztraminer.”
– “Mais non Léopold, on dit LE Gewurztraminer et pas LA Gewurztraminer.”

Léopold remercie la patronne de prendre le temps de lui donner des conseils pour progresser en français.

Le lendemain matin, Léopold est absent au départ de l’équipe et la femme du vigneron s’inquiète pour lui mais vers dix heures du matin, elle voit le vendangeur noir, assis sur le banc près de l’église et elle l’interroge :
– “Mais Léopold, qu’est-ce qui t’arrive, pourquoi n’es-tu pas venu au travail aujourd’hui ?
– “Oh, Madame, j’ai eu peur. Aujourd’hui mes copains ont dit qu’ils allaient couper LE pinot noir ! J’ai eu peur qu’ils se soient trompés eux aussi !”

Et oui, il suffit de pas grand chose pour avoir peur de l’autre.  C’est ça aussi le poids des mots.

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Les amishs, qui refusent toute sorte de progrès technologique, y compris le téléphone et la télévision, sortent rarement de leur campagne. Pourtant, un jour, une famille est obligée d’aller dans une grande ville. Dans un immeuble, le père et le fils tombent en arrêt devant deux portes en fer qui s’ouvrent et se ferment comme les mâchoires d’un énorme monstre. Ils découvrent les portes d’un ascenseur.

– “Qu’est-ce que c’est ?” demande le fils.

Le père répond : “Je suis désolé, mon fils, je n’ai jamais rien de tel de ma vie.”

Entre alors une femme obèse. Les portes se referment et des voyants rouges s’allument l’un après l’autre en montant. Un temps d’arrêt et les voyants rouges s’allument tour tour en descendant.

Les portes s’ouvrent de nouveau et une ravissante pin-up sort de la machine. Le père est ébahi et dit au fils :

– “Cours vite chercher ta mère…

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Une dernière :

Un couple vient d’adopter un bébé chinois.
La femme blonde dit alors à son mari :
– Vite, il faut prendre des cours de chinois !
– Mais pourquoi ?
– Il faut apprendre le chinois avant qu’elle commence à parler !

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Bon dimanche et à lundi.

 

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5 réflexions sur « C’est dimanche (153) »

  1. Bonsoir Françoise

    La première j’aime assez
    Pour la seconde ça ma fait penser à une autre
    – Que fait un somalien avec un grain de Riz ?
    Il ouvre un supermarché

    Ok pas terrible …

  2. Merci pour ces histoires drôles qui sortent de l’ ordinaire !
    Bonne journée Françoise
    Bisous

  3. bonjour chère Françoise, elles sont “parfaites” tes petites histoires, j’aime assez la première et les deux dernières , j’espère que tout va bien pour toi et les tiens, bonne semaine, amitiés et bises

  4. Bonjour Françoise
    Des différences qui avec le temps sont comprises
    Je souris au bazar dans la résidence universitaire
    Bises de Yaoundé
    Frieda

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