C’est dimanche (119)

Gris votre dimanche ? Courage ! Le beau temps revient toujours après la pluie. Alors un petit coup de pouce pour sourire avec les histoires du dimanche. Aujourd’hui des histoires de folie.

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Deux fous veulent s’évader d’un asile. Ils se concertent et se disent que si le portail est haut, ils passent en-dessous, s’il est bas, ils passent au-dessus. L’un d’eux va voir vers l’entrée et revient dépité :

– “Désolé, on ne peut pas s’évader, il n’y a pas de portail !”

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Deux fous se baladent dans la rue. L’un des deux ramasse un morceau de miroir sur le sol. Il le regarde, voit son visage et s’exclame :
– Eh ! la tête de ce type me dit quelque chose !
L’autre fou prend le miroir, le regarde à son tour et répond :
– Bah bien sur que tu le connais, c’est moi !!!

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Jean-Pierre et Hannibal sont des malades mentaux internés dans un hôpital psychiatrique. Un jour, ils se promènent et longent la piscine. Jean-Pierre glisse, tombe à l’eau et coule à pic. Aussitôt, Hannibal plonge et va repêcher Jean-Pierre. Il le ramène sain et sauf à la surface.
Quand le directeur apprend l’acte héroïque d’Hannibal, il décide de le laisser sortir immédiatement, certain que si Hannibal est capable d’un tel acte, il doit être redeveni mentalement équilibré.
Le directeur va lui-même annoncer cette bonne nouvelle à Hannibal et lui dit :
– “J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous apprendre ! La bonne c’est que nous vous laissons sortir de l’hôpital parce que vous avez été capable d’accomplir un tel acte de courage en sauvant la vie d’une autre personne, je crois que vous avez retrouvé votre équilibre mental.Vous êtes sain d’esprit. La mauvaise, c’est que Jean-Pierre s’est pendu dans la buanderie avec la ceinture de sa robe de chambre.”

Hannibal regarde le directeur et lui dit tranquillement :
– “Il ne s’est pas pendu, c’est moi qui l’ai accroché pour qu’il sèche…”

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Un fou rentre chez lui et son horloge sonne trois coups. Il dit : “Oh, ça va ! je sais qu’il est une heure, pas la peine de le répéter trois fois !”

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Un homme crève un pneu de sa voiture juste devant le mur d’un asile. Sur le mur, un fou est accoudé et le regarde. L’automobiliste démonte sa roue, troublé par le regard fixe du fou qui l’observe toujours très attentivement. Il prend sa roue de secours et, troublé, il fait tomber les écrous de la roue dans la bouche d’égout. Il est donc est très ennuyé. Comment va-t-il pouvoir remonter  la roue ?

Il est en train de réfléchir à ce qu’il va faire quand tout à coup, le fou lui dit :

-” Vous n’avez qu’à prendre un écrou sur chaque roue. Avec trois écrous par roue, vous pourrez facilement aller à un garage”.

Le chauffeur est épaté : – Ben ça alors ! C’est drôlement intelligent, ce que vous me dites là. Mais qu’est-ce que vous faites dans cet asile ?”

– “Ben je suis fou, pas con !”

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Comment appelle-t-on un fou qui travaille à La Poste ?

– “Un timbré.

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Un test intéressant, pour un ministre en visite par exemple :

Durant la visite d’un institut psychiatrique, un “officiel” demande au directeur sur quels critères, le personnel soignant se base pour déterminer si un patient doit être vraiment interné.

– “Eh bien, nous emplissons une baignoire d’eau, puis nous offrons une cuillère, une tasse ou un seau au patient en lui demandant de vider la baignoire.

– “Ah, je comprends, fait le visiteur. Une personne normale choisira évidemment le seau parce qu’il est plus gros que la cuillère ou la tasse !”

– “Non, répond le directeur, une personne normale retirerait le bouchon du bain. Désirez-vous une chambre avec vue ?”

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Moins drôle mais vraie question : “Faut-il être fou pour arriver au pouvoir ou est-ce le pouvoir qui rend fou ?”

Il parait que « la folie, chez un homme politique, c’est un peu comme la tuberculose pour les mineurs du siècle de Zola, une maladie professionnelle, un risque difficilement évitable ». (Pascal de Sutter)

Mais avez-vous pensé que c’est nous qui votons et nous votons pour les plus fous, pour les séducteurs, les “grands prometteurs” menteurs. Leurs défauts nous rassurent et nous préférons voter pour ceux qui nous ressemblent plutôt que pour les rationnels ou les académiques.

L’électeur est sans doute encore plus fou que celui qu’il élit.

 

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3 réflexions sur « C’est dimanche (119) »

  1. oh, oui, il y a des folies qu’ on ne voit pas, ou qu’ on fait semblant d’ ignorer !
    Merci pour ces histoires !
    Bon dimanche Françoise
    bisous

  2. Qu’est-ce à dire ? On ne voterait que pour des fous, folie partagée en somme ? Et dire que chez nous le vote est obligatoire. Je te rassure, ma santé (physique) est toujours bonne. Pour la mentale…

  3. Bonjour ma gentille Françoise, je suis venue rire un petit moment pendant une courte pause. Merci.

    C’est avec une belle semaine qui commence que je passe
    te souhaiter un bon lundi bien ensoleillé.
    J’espère que tu as passé un agréable week end.

    Je profite de te dire par ici, que je passerai jusqu’à mercredi
    16 avril, puis je serai en pause pour raison de vacances. 😉
    Je serai de retour mercredi 23 avril.
    Je te le rappellerai ne t’inquiète pas.

    Allons faire un tour chez mon adorable Sylvie, c’est le nouveau
    lien ami que je te confie.
    Un bel univers de partage, de la douceur, du bonheur et un
    bon caractère qu’a cette gentille amie, car je la taquine parfois.
    Elle mérite que vous passiez la voir.
    Bon voyage dans son joli monde.
    http://sylounette.eklablog.com/

    Prends soin de toi et bonne journée avec le sourire.

    Lolli

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