Humour noir chez les hommes politiques.

Je ne peux pas citer les noms des auteurs, soit parce que je  ne les connais pas, soit pour ne pas les vexer, soit parce qu’on ne prête qu’aux riches et que certains peuvent se voir accuser de mots qu’ils n’ont pas “commis”, ce sera donc “les politiques anonymes”.

Juste pour rire. Du temps où la politique avait un côté sans doute plus sauvage (dans le sens de violent) mais combien plus naturel à la Réunion, un maire d’une commune agricole avait invité un notable pour une visite officielle des locaux communaux, école sans doute, marché, que sais-je ? Pour finir, très fièrement il proposa un passage par sa cochonnerie ! Il voulait montrer sa porcherie neuve.

Aujourd’hui, si quelqu’un vous propose de vous montrer sa cochonnerie, il faut se méfier…

Revenons à l’humour noir involontaire des politiques !

Mon premier travail, si je suis élu, sera d’aller m’incliner devant la tombe de ceux qui m’auront donné leur voix. Un corse ? Un ultramarin ? Là où les morts ont le droit de vote. Sûr qu’après avoir donné leur voix, ceux là, on ne les entendra pas.

Je préfère le côté définitif de la peine de mort à son côté dissuasif. Au fond, moi aussi. Au moins, il n’y aura pas de risque de récidive.

Et à tous ceux qui sont morts  pour cette noble cause, je dis : longue vie. Un voeu pieux !

Nos vieillards meurent de froid à petit feu. Economique pendant l’hiver. Et l’été, ils se déshydratent tout doucement et en silence…

En politique, il faut suivre le droit chemin : on est sûr de n’y rencontrer personne. Celle-là, ce serait Bismarck.

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